Les origines africaines de la Statue de la liberté
Imaginez ceci : l’un des symboles les plus emblématiques des États-Unis, la Statue de la Liberté, ne serait pas née dans l’esprit d’un artiste français, mais aurait des origines bien plus anciennes et lointaines. Découvrez dans cet article les racines africaines de la dame de fer.
1/30/20252 min read


Et si je vous disais que la Statue de la liberté, cette icône mondiale située à New York, aurait été inspirée par les femmes amazighes (berbères) d’Afrique du Nord?
Découvrez dans cet article une histoire fascinante, souvent oubliée, qui lie la Statue de la Liberté aux terres africaines.
Les origines africaines de la Statue de la liberté
La Statue de la liberté, offerte par la France aux États-Unis en 1886, est universellement reconnue comme un symbole de liberté, d’espoir et de démocratie.
Mais saviez-vous que son concepteur, le sculpteur français Frédéric Auguste Bartholdi, aurait trouvé son inspiration lors d’un voyage au Maroc en 1871, au cœur des terres amazighes?
Où exactement?
À Tanger, cette ville portuaire située à la croisée des cultures africaines, arabes et méditerranéennes.
Les femmes amazighes, connues pour leurs vêtements traditionnels et leur présence imposante l’ont profondément impressionné.
Les Amazighs, ou Berbères, sont un peuple autochtone d’Afrique du Nord dont l’histoire remonte à des millénaires.
Les femmes amazighes occupent un rôle central dans la société. Elles se distinguent par leur indépendance et leur résilience.
C’est donc en découvrant les récits et les représentations des Amazighs que Bartholdi aurait été captivé par la dignité et la force de ces femmes.
Il aurait alors imaginé une statue qui incarnerait ces valeurs universelles de liberté et de résistance, tout en s’inspirant des formes et des symboles qu’il avait observés au Maroc.
Lorsque Bartholdi a été chargé de créer un monument pour les États-Unis, il a puisé dans ses souvenirs marocains pour façonner une statue qui incarnerait la liberté éclairant le monde.
La Statue de la Liberté, bien que souvent associée à la France et aux États-Unis, porte en elle l’héritage des femmes amazighes du Maroc.
Le symbole le plus distinctif que le sculpteur a emprunté aux Amazighs est leur coiffe traditionnelle.
Vous le reconnaîtrez en un coup d’œil sur la tête de la Statue.
Chacune des sept pointes de sa couronne représente un rayon de lumière, symbolisant les sept continents (dont l’Antarctique) et les sept mers du monde.


Pourquoi cette histoire est-elle méconnue?
Malgré ces liens évidents, l’histoire des origines marocaines de la Statue de la liberté reste largement ignorée.
Cela s’explique en partie par les récits dominants qui mettent l’accent sur les contributions européennes et américaines, sans beaucoup parler des influences africaines.
Pourtant, reconnaître ces origines enrichit notre compréhension de l’histoire et met en lumière les contributions souvent invisibilisées des peuples africains.
Cela nous rappelle que les symboles universels de liberté et de résistance ont des racines profondes et diversifiées, qui transcendent les frontières géographiques et culturelles.
Conclusion
La Statue de la liberté n’est pas seulement un symbole américain ou français : elle incarne une histoire bien plus profonde, ancrée dans les traditions et la résilience des femmes amazighes du Maroc.
J’espère qu’en retraçant ces racines oubliées, j’ai pu enrichir votre perception du passé et vous sensibiliser à l’apport inestimable des cultures africaines à l’héritage mondial.
Alors que pensez-vous de cette histoire? Commentez en cliquant ici.
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